Burn-out
Les difficultés rencontrées au travail sont de plus en plus fréquentes et profondes.
J’ai déjà eu l’occasion de vous parler de l’importance de satisfaire ses valeurs essentielles, tout particulièrement dans le cadre du travail qui représente une part importante de notre vie, ne fut-ce qu’en termes de temps.
De plus en plus de gens viennent avec un diagnostic posé par leur médecin : c’est un burn-out.
Et là, on a tout dit. La personne s’affole, c’est grave.
Ou alors, elle se sent tout à coup très importante : ça fait tellement longtemps qu’elle s’épuise au travail pour qu’on remarque ses compétences… et sa valeur.
Ou alors, enfin, elle va pouvoir s’occuper d’elle maintenant qu’elle y est obligée.
Quel que soit l’objectif inconscient poursuivi par cet état de souffrance, il est essentiel de ne pas passer à côté.
S’il s’agit d’une question de valeurs bafouées, du besoin de s’écouter et de prendre soin de soi, de faire le point sur le sens de sa vie, d’exister au lieu de survivre, alors il sera vain de se contenter d’antidépresseurs.
Un burn-out nécessite une réelle prise en compte de l’état du corps qui a commencé à puiser dans ses réserves. Certaines médecines parallèles offrent des solutions très efficaces.
Il nécessite également une approche psychologique qui permettra de déterminer quel est le message que notre corps tente de passer de manière si excessive.
Cet épisode offre souvent une chance de réorienter sa vie pour enfin exister pleinement.
Ceci dit, c’est un peu cher payé.
Peut-être pourrait-on se poser les bonnes questions sans attendre d’y être obligés douloureusement…