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PSYCHOTHERAPIE
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1 février 2012

Education

Même si j’entends de nombreux ex-enfants déplorer que leurs parents leur aient fait subir leurs propres manques de l’enfance, il est plus fréquent que les parents souhaitent le meilleur pour leurs enfants.

Encore s’agit-il de déterminer ce qu’est le meilleur.

Plus de tendresse, plus d’attention, plus de respect, plus d’études, plus de confort, plus de vacances, plus d’argent de poche, qui serait contre ?

Mais toute la difficulté est de poser les limites entre toutes ces bonnes choses, ce bien-être espéré pour nos enfants et un trop qui se manifestera de manières aussi différentes que déplorables.

Est-il souhaitable qu’un enfant ait tant d’argent de poche qu’il puisse s’acheter cigarettes et autres drogues à fumer ?

Qu’il rentre alcoolisé très jeune et que cet état attendrisse des parents qui ont tant souffert d’interdictions de sortie ?

Qu’aucun effort ne soit exigé face aux difficultés rencontrées et que tous les problèmes soient pris en charge par les parents ?

Que l’argent compense systématiquement et largement le manque de disponibilité ?

Que les cours séchés ne provoquent pas de mise au point et de rencontre avec le directeur ?

Qui répondrait oui bien sûr ?

Et pourtant, ces comportements sont si fréquents que la question se pose des errements des parents, de leurs culpabilités, de leurs souffrances non résolues.

Peut-être ont-ils si peur de perdre leur enfant qu’ils n’osent se positionner fermement ?

Mais d’où vient ce mythe que les enfants se rebelleront face à un comportement strict mais juste ?

Et si le problème se situait du côté des parents et qu’au lieu de traîner leurs enfants de psychologues en thérapeutes de tous ordres, ils osaient affronter leurs propres peurs ?

En traitant systématiquement les parents qui se plaignent du comportement de leurs enfants, le thérapeute remet les choses dans l’ordre et permet une réelle intervention.

Quoiqu’il en soit, il n’y a pas plus de bons que de mauvais parents.

Même si parfois la tentation est de baisser les bras, l’important est de faire de son mieux à chaque instant.

 

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Commentaires
M
Il est vrai qu'il n'y a pas de manuel pour éduquer chaque enfant si unique...vieux proverbe "qui Aime bien Châtie bien" il vaut ce qu'il vaut, dans la bonne mesure...4 enfants sont nés de notre amour, adultes maintenant, joies et tensions parfois, pour les grosses colères toutes rouges, il suffisait que leur papa chéri prenne un verre et mette un fond d'eau, le pose sur la table en disant : attention si tu ne te calme pas tu sais ce qui arivera...souvent, j'avais aussi peur que l'enfant....pour le carrelage de la cuisine !33 ans ont passé, notre grande fille a repris l'idée du verre pour son petit de 3 ans...pas de cris, pas de claques...çà faisait son effet, tous les 4 en rient maintenant.Ados, ils savaient qu'il n'y avait pas question de monter dans les chambres avec son amoureux, 1 seul couple sous notre toit, le nôtre, nous ne le regrettons pas et tous les 4 nous ont remercié, ils sont toutes et tous avec le même amoureux (se)sans en avoir eu 50...4 ans avant de pouvoir dormir tous les 2 ensemble, dans notre nid, nous n'en sommes pas morts, c'était comme çà, et on obéissait..A ce jour, les parents ont peur de la réaction de leurs enfants qui ne demandent que des limites...Qui d'autres que les parents peuvent les mettre ?Je pense que nous n'avons pas été si durs que cela...ils nous montre tellement d'amour.
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