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PSYCHOTHERAPIE
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24 janvier 2016

Violence aux femmes

 

La violence est un grand sujet, parce que c’est une réelle grande souffrance pour beaucoup trop de femmes.  

Il y a des lois, des publicités pour attirer l’attention sur… je ne sais pas très bien sur quoi, d’ailleurs.

Il y a des numéros verts, des formations pour les policiers, des tentatives de prise de conscience, des colloques, des articles dans les magazines, des émissions de télé. 

C’est vrai, on parle beaucoup de la violence faite aux femmes.

Et pourtant, rien ne change vraiment chez tous les interlocuteurs concernés de près ou de loin parce que les regards et les croyances sur les femmes maltraitées sont proches de ceux qu’elles ont sur elles-mêmes.

Quand les habitants d’un village ont l’habitude d’entendre et de voir une femme se faire maltraiter à répétition, ils ne réagissent pas plus qu’elle, qui reste dans la situation. C’est comme si en acceptant cette violence par sa passivité, elle passait le message que ce n’est pas si grave que ça et qu’ils n’ont pas besoin d’intervenir. Les policiers eux-mêmes, perpétuellement en sous-effectif, attendent le drame pour intervenir.

Le coeur du problème est profondément incrusté dans l’inconscient de ces femmes qui croient qu’elles méritent ce qui leur arrive. Elles ont été tellement maltraitées de différentes manières tout au long de leur existence qu’elle croient profondément qu’elles ne méritent pas mieux tant la mésestime et la dévalorisation semblent faire partie de leur identité. 

Les hommes faibles qui ont peur des femmes et se sentent impuissants ou en danger face à elles ne s’attaquent jamais à des femmes en contact avec leur propre valeur. Ils perçoivent instantanément celles qu’ils vont pouvoir dominer pour se sentir puissants.

C’est la rencontre de deux êtres en grande souffrance, sans confiance en soi, sans conscience de leur valeur d’humain, en grande carence d’amour inconditionnel, qui s’opère.

Il n’y a qu’en prenant le problème par le bon bout qu’on pourra le résoudre, cas par cas. Chaque personne concernée, victime ou bourreau, est un ex-enfant victime des conditionnement familiaux et qui a besoin d’aide. Une forme de salut réside dans la thérapie brève et particulièrement dans la psychogénéalogie qui permet d’identifier rapidement les causes pour traiter rapidement les effets.

Lorsque l’ex petite fille cessera d’espérer un changement et de l’amour chez son compagnon comme elle attendait en vain celui de ses parents, une relation différente pourra se créer. Lorsque chaque déception cessera de conforter la croyance qu’en ne le recevant pas, elle ne le mérite pas, alors une nouvelle conscience de soi pourra s’opérer.

Tout le reste n’est que sparadrap sur une jambe de bois, malheureusement.

Et pour être juste… ceci est valable si on inverse les sexes bien sûr. Et pour les harcèlements de tous ordres.

 

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  • Passer quelques heures à dénouer le fil de notre Vie pour le retisser en conscience, voilà le plus bel investissement que nous puissions nous accorder. Les outils de thérapie brève:psychogénéalogie, PNL,hypnose,EFT,décodent et traitent notre mal de vivre
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