19 juillet 2013
Suicide des vieux. Suite
La nuit n’est jamais complète.
Il y a toujours, puisque je le dis,
Puisque je l’affirme,
Au bout du chagrin,
Une fenêtre ouverte,
Une fenêtre éclairée,
Il y a toujours un rêve qui veille,
Désir à combler, faim à satisfaire,
Un coeur généreux,
Une main tendue, une main ouverte,
Des yeux attentifs,
Une vie, la vie à partager.
Paul Eluard
Des vieux et des autres…
Ou comment combler avantageusement le trou de la sécu… au lieu de mettre des barrières autour.
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